« Si le nez est d’abord un peu discret, la bouche révèle une générosité et même une opulence finale surprenante. Quel que soit l’origine, c’est bien à l’arrivée qu’on juge un vin.
Par définition, un repas d’été est à géométrie variable, n’en déplaise à Euclide. On peut donc tenter beaucoup de mariages gastronomiques avec cette cuvée. »
« Nez méditerranéen, rassurant par son classicisme. Ça exprime le terroir (bâton de réglisse, touche de laurier), c’est bien élevé (note de poivre et de tabac). C’est drôlement bien fait et on aime le boire car les tanins ronds et digestes prolongent agréablement le déroulement des arômes. Un joli vin tout en dentelle. »
« Surtout ne pas se laisser abuser par le nom. On imagine l’automne comme la saison un peu triste. Et bien cette veillée serait plutôt tonique. Les arômes sont du genre dynamique : cassis, cerise burlat, moka et surtout une collection de poivres est réunie et développe sa complexité.
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